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Power
Nyons, 10 nov 2012
Tu me promènes
Comme de la petite monnaie cliquetant
Au fond de ton sac
Tu ne sembles même pas t’en rendre compte
Alors que tu ondules le long de la rue
Avec cette inimitable allure de flamme de bougie d’anniversaire
Au grand jour
Au grand jour
Et tu ne sais même pas
La façon dont je t’aime
Tu n’as jamais connu le pouvoir, n’est-ce pas ?
Tu pensais que le pouvoir résidait dans un bras fort
Dans les gens qui se passent les lois et l’or
Dans les tsunamis et les champignons atomiques
…Oh bébé, ce n'est rien
Tu trouves qu’il y a une sorte de douceur
Dans le balbutiement et le tremblement de ma voix
Mais ne les prends pas pour de la faiblesse
Ou une sorte d’incomplétude
Car presque à cet instant
Je peux le sentir frissonner
Il serpente à l'intérieur de moi
Et il est prêt à exploser
Tu n’as jamais connu la puissance, n’est ce pas
Tu pensais qu’elle pétillait dans les lignes à haute tension
Dans la combustion de l'acier et des os carbonisés
Saturne 5 en décollage vertical
Tu n’as jamais connu la puissance, n’est-ce pas ?
Tu pensais qu’il rugissait comme les Chutes du Niagara
Ou comme la pierre en fusion sous les volcans
Le tonnerre d’un tremblement de terre, les tempêtes de foudre
La manière dont je t’aime
C’est quelque chose que tu ne comprends pas
La manière dont je t’aime
A pris plus que je ne pouvais imaginer, même maintenant
Tu n’as jamais connu le pouvoir
Tu t’es toujours sentie si forte
Mais maintenant tu ne peux pas fonctionner, éveillée ou endormie
Alors que le monde, vide de sens, se dissipe sous tes pieds
Et que l'univers cesse de se retirer à la vitesse de la lumière
La vie était douce sous la pluie de météores
De la divinité stellaire
Quand tu brillais et t’écroulais
Du paradis à l’enfer
Et après dix ans à m’écraser, heure après heure, heure après heure
Je sais tout sur le pouvoir
Ecoute la pluie
Tu pourrais sentir un tremblement
Tu pourrais le sentir
(Traduction par Dany de Mongenot)
Power, Marillion, 2012
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